Nous avons découvert Morille au détour d'une de nos nombreuses flâneries virtuelles; ses dessins avaient accroché notre œil, ses goûts musicaux nous avaient mis la puce à l'oreille, ses descriptions désabusées mais au combien hilarantes de rendez-vous interculturels manqués avaient mis nos zygomatiques à rude épreuve. Elle a accepté de se plier aux jeux du questionnaire: amoureux des lieux communs sur Berlin la ville-trop-über-cool-de-la-mort ou weirdos non réceptifs à l'humour 36ème degré, passez votre chemin. Les autres, très bonne lecture.
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dimanche 23 juin 2013
dimanche 31 mars 2013
#Interview - What is Berlin for... Manon, de Génération Berlin.

samedi 19 janvier 2013
#Interview - What is Berlin about for... Hannah.
Berlin était pour moi synonyme de
traumatisme adolescent. Un voyage chiant, froid, une langue barbare, dure.
Aussi, le scepticisme était de mise quand mon amie Flavia a choisi de s’y
installer pour un an – scepticisme vite transformé en constat sans appel :
il fallait que j’aille la voir, et vite. C’est donc pleine d’appréhensions et
de vagues relents de snobisme parisien que j’ai débarqué un mercredi matin de
novembre à l’aéroport, direction Berlin.
mercredi 16 janvier 2013
#Interview - What is Berlin about for... Vladimir d'Ayguesparsse.
Une saison à Berlin.
Lorsque j’ai rencontré BERLIN pour la
première fois, à la fin des années 2000, on disait déjà que c’était fini la
grande époque, l’âge d’or. Les DJ, les graffers, les clubbers, bref les
artistes en tout genre commençaient à parler d’autres villes, plus à l’Est encore.
Mais moi j’y ai jamais cru à ces
conneries. BERLIN, ça a toujours été un endroit extra pour faire la fête en
mode défonce. BERLIN c’est la ville de l’oubli et de la perte, un point c’est
tout.
Mais mon BERLIN à moi, c’est pas ça,
c’est pas la dope bon marché et les clubs cradingues, c’est pas le cramage de
cerveau et la minimale sauvage. J’dis pas que j’y ai pas touché, j’dis juste
que BERLIN, pour moi, c’est pas ça.
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